Bahria en image et en quelques mots
Les photos sont de : Achard de Préville, Dylan Delaunay et Stéphane Grolaud.
Premiers écrits à partir de 15 ans. Toutefois la poésie vraiment « inspirée » ne verra le jour que 10 ans plus tard. Entre temps, le travail de la scène dans une compagnie de théâtre m’a apporté plus d’assurance.
Je me suis assez rapidement tournée vers la musique afin de communiquer la poésie plus directement à un public.
Très vite, j’ai trouvé que j’arrivais mieux à ajuster mes mots sur le jazz et la bossa nova. Donc je me suis mis à travailler ces styles.
Pour tenter de propager, partager ma passion j’ai mis en place et animé des cabarets poétiques où j’ai pu inviter des artistes de disciplines et d’horizons divers.
D’une façon générale, j’ai souvent communiqué mes poèmes en direct par la scène, qu’ils soient récités ou chantés.
En règle générale j’écris en octosyllabes ou en alexandrins. Parfois en vers libres mais j’aime par-dessus tout le rythme et la rime.
Je me sens plutôt proche des romantiques et des poètes maudits.
La poésie donne plus de sens aux mots. Elle est là avant tout pour toucher le cœur. En restant simple et accessible, elle peut intégrer tous les aspects de la vie : le quotidien, le social, la politique, la beauté et l’amour aussi bien que l’horreur et le sordide. Dans la poésie les mots sont totalement libres. La rime ou l’alexandrin ne les enferment pas, ils sont juste là pour les servir.
Mespoètes préférés : Ch. Baudelaire, V. Hugo, L. Ferré…
Léonard Cohen dit que la poésie est la réalité et qu’elle est une sorte de reportage de la vie. Je me sens totalement en adéquation avec cette idée.